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  • Photo du rédacteurVirginie Riauté

retour de lecture : La maison de poupées d'Azel Bury


Maman disait toujours : " La vie Forrest, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber."

J'appliquerais bien volontiers cette phrase reprise d'un des films préférés de mon fiston à ce recueil de nouvelles.

J'avais entendu qu'il y avait 19 nouvelles et m'attendais à un pavé de plus de 600 pages. Peu habituée à ce genre littéraire, le peu que j'en lis en ce moment, font entre 30 et 40 pages. J'ai donc été étonnée au départ de découvrir ces récits si courts et encore davantage de ressentir autant d'émotions sur une si courte distance. Alors rien que pour cela déjà, pari réussi pour l'auteure.

Tantôt espiègle, tantôt tendre, parfois drôle ou carrément pesant, on a l'impression que l'auteure a écrit ses petites histoires au gré de ses humeurs et l'on ne s'en lasse pas. Chaque nouvelle apportant son lot de surprises.

Coups de cœur tout particulier pour "un jour spécial" pour l'histoire qui m'a particulièrement touchée, " Le patron" pour sa fin inattendue et surtout pour "Le fleuve" que j'ai trouvé magnifiquement écrit.

En somme, je me suis régalée à lire ce recueil que l'on peut lire partout partout et à tout moment.😉

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